Le mot deuil signifie douleur.
Faire son deuil, c’est faire sa douleur. C’est prendre le temps de traverser toutes les étapes nécessaire pour vivre cette douleur. C’est un processus normal et naturel de cicatrisation et de guérison psychologique et spirituelle. Nous avons chaque jour nos deuils à vivre. vivre nos « petit » deuils du quotidien nous prépare à vivre les grands deuils de la vie.
Ce n’est pas une maladie.
Ce mot n’a pas bonne presse, ce passage est de plus en plus négligé, occulté, dénié. « Négliger de faire son deuil apporte un malaise intérieur, des états dépressifs, des souvenirs obsessifs des disparus, un stress inhabituel et par la suite des relations plus difficiles au travail et dans la conduite de sa vie. Nier son deuil engendre tôt ou tard un mal être , une culpabilité malsaine comme si on avait reçu des bleus à l’âme. » affirme Jean Monbourquette dans son ouvrage Excusez-moi je suis en deuil.
Prenons le temps de vivre nos deuils. Nous vivons dans une société où la mort est cachée, niée, refusée mais elle nous rattrape si on la cache.
Quand une personne réussit à traverser les diverses phases du deuil elle recouvre une vie normale, tout en étant profondément transformée.
Je vous accompagne individuellement et en groupe sur ce chemin de deuil. Je m’appuie sur le travail précieux de Jean Monbourquette et Isabelle d’Aspremont.